Quand les footballeurs prêtent leur nom

Non, les footballeurs ne lèguent pas uniquement leur nom à des gestes techniques inédits, à l’instar de Rabah Madjer. Véritables « multinationales », les joueurs –souvent mégalos– donnent plutôt leur patronyme à des objets de luxe, des infrastructures voire… des musées. Pour un gros choc des cultures, certes. Voici nos combos préférés.

João Pinto, un volcan sous la crinière d’or

Membre de la génération dorée portugaise, João Pinto était la pointe de l’équipe où brillaient Rui Costa et Luis Figo. Victime de l’émergence de Pauleta au début des années 2000, son tempérament de feu finira de le griller au niveau international. Familier des coups bas/de sang, le « Menino de Ouro » (gamin en or) aura connu une carrière en deçà des espoirs placés en lui. Itinéraire de ce numéro 9 né trop tôt.

La question de la semaine : Depay a-t-il prouvé qu’il n’avait pas le niveau du top 5 ?

Le Néerlandais a été plutôt absent de la rencontre de Ligue des Champions face au Barça (0-0), mardi soir. Pourtant, après ses déclarations récentes, il avait tout intérêt à assumer sur le terrain. Léo Dubois, Anthony Lopes et Jason Denayer, entre autres, ont été meilleurs que lui côté lyonnais et ils n’ont pourtant évoqué aucune envie de « top 5 européen », eux.

Quand le carton rouge est mérité…

Cela arrive de se faire expulser d’une rencontre –n’est-ce pas Cyril Rool ?– et, parfois ce n’est pas pour une faute si grave que ça. Deux tacles non maîtrisés peuvent faire rentrer au vestiaire plus vite que prévu. Ce qui nous intéresse ici, c’est l’autre cas de figure : quand seul un rouge pouvait sanctionner la faute –parfois horrible– commise. Petite sélection de boucheries/attentats.

La dream team du Monde version “exotique”

Vous voulez un peu d’exotisme et de challenge sportif ? Ça tombe bien, on vous a concocté une Dream Team –même si le portier et la défense sont plus « Team » que « Dream »– des joueurs évoluant dans des contrées lointaines, pour l’amour du ballon rond. Et parfois un peu pour le pognon, mais on dit ça sans être trop sûrs de nous.

Un date au stade : bonne ou mauvaise idée ?

Téméraire, vous vous êtes récemment dit que ça ne serait pas une mauvaise idée d’emmener au stade celle (ou celui) que vous courtisez. Voire qui fait déjà battre votre cœur, comme Kostas Mitroglou fait battre celui des supporters marseillais. On s’est posé la question et on a la réponse : c’est une mauvaise idée. Voici quelques arguments très convaincants, telle une causerie de Pascal Dupraz.