A en croire les informations du quotidien espagnol AS, Ousmane Dembélé a décidé de faire grève. En effet, il ne s’entraînera pas avec le FC Barcelone ce vendredi. Le joueur soutien le mouvement indépendantiste en Catalogne.
Le Barça se déplacera sur la pelouse d’Eibar ce samedi (13:00) pour tenter de reprendre la première place du classement. La veille d’un match, Gérard Piqué, né à Barcelone, a décidé de boycotter l’entraînement de ce vendredi pour soutenir les indépendantistes qui manifestent en Catalogne depuis quelques jours. Pour les mêmes raisons, Ousmane Dembélé pourtant natif de Vernon en France, ne se rendra pas à l’entraînement aujourd’hui.
Dembélé fait la grève à l’appel des indépendantistes catalans! 😂😂😂 https://t.co/78pidSi00l
— frédéric hermel (@fredhermel) October 18, 2019
❌ Piqué y Dembélé se 'solidarizan' con la huelga y no se entrenarán el viernes
❌ Los dos jugadores no acudirán a la Ciudad Deportiva
⚽ Posponen el entrenamiento al sábado por la mañana junto al preparador Edu Ponshttps://t.co/83plGrhPS3— Diario AS (@diarioas) October 18, 2019
Une grève surprenante
Expulsé contre le FC Séville pour s’être adressé à l’arbitre en disant “Très mauvais, tu es très mauvais”, Ousmane Dembélé enchaîne les faux pas. Deux ans après son arrivée, il ne parle toujours pas espagnol et certains coéquipiers, notamment Lionel Messi, se demandent comment l’arbitre a pu entendre ces mots.
Même s’il ne maîtrise pas la langue locale, l’international français semble être attaché à la Catalogne puisqu’il milite pour l’indépendance de celle-ci.
Ousmane Dembélé -junto a Gerard Piqué- no irá a entrenar mañana con el Barça puesto que está a favor de la huelga independentista en Cataluña. El futbolista francés no sabe hablar castellano ni catalán. (Vía @diarioas).
— Albert Ortega (@AlbertOrtegaES1) October 17, 2019
« Ousmane Dembélé – avec Gerard Piqué – ne s’entraînera pas avec le FC Barcelone puisqu’il est en faveur de la grève pour l’indépendance de la Catalogne. Le footballeur français ne parle ni l’espagnol ni le catalan », explique le journaliste Albert Ortega sur son compte Twitter.
