Après sa victoire 2-0, dimanche, face à l’AS Saint-Etienne, l’OM est revenu à cinq points du troisième, l’OL, toujours engagé en Coupe de France, ainsi qu’en Ligue des Champions pour l’instant – cela a son importance. Le peuple marseillais, avec Mario Balotelli en serial buteur, se remet à rêver.
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Non, les footballeurs ne lèguent pas uniquement leur nom à des gestes techniques inédits, à l’instar de Rabah Madjer. Véritables « multinationales », les joueurs –souvent mégalos– donnent plutôt leur patronyme à des objets de luxe, des infrastructures voire… des musées. Pour un gros choc des cultures, certes. Voici nos combos préférés.
Membre de la génération dorée portugaise, João Pinto était la pointe de l’équipe où brillaient Rui Costa et Luis Figo. Victime de l’émergence de Pauleta au début des années 2000, son tempérament de feu finira de le griller au niveau international. Familier des coups bas/de sang, le « Menino de Ouro » (gamin en or) aura connu une carrière en deçà des espoirs placés en lui. Itinéraire de ce numéro 9 né trop tôt.
Le Néerlandais a été plutôt absent de la rencontre de Ligue des Champions face au Barça (0-0), mardi soir. Pourtant, après ses déclarations récentes, il avait tout intérêt à assumer sur le terrain. Léo Dubois, Anthony Lopes et Jason Denayer, entre autres, ont été meilleurs que lui côté lyonnais et ils n’ont pourtant évoqué aucune envie de « top 5 européen », eux.
Vous voulez un peu d’exotisme et de challenge sportif ? Ça tombe bien, on vous a concocté une Dream Team –même si le portier et la défense sont plus « Team » que « Dream »– des joueurs évoluant dans des contrées lointaines, pour l’amour du ballon rond. Et parfois un peu pour le pognon, mais on dit ça sans être trop sûrs de nous.
Le « syndrome Semak », c’est quand un club acquiert un joueur qui a fait une très bonne prestation face à lui, mais qu’il s’aperçoit ensuite que le gars est finalement un peu bidon. Ce qui donne un flop, un vrai, comme on les aime (chez les autres). Voici quelques beaux spécimens, triés sur le volet.
Quasi dix ans après la fin de sa carrière, son nom fait toujours grimacer les amoureux du football. Doué balle au pied, Fabrice Fiorèse a réalisé un honorable parcours, sur le terrain. Pour ce qui est de la cote d’amour en tribunes, il reste encore et toujours le visage de la trahison. Il faut dire que l’ancien Parisien, puis Marseillais, s’est donné du mal pour faire de son nom l’un des plus détestés de l’histoire du foot français.
Alors que Roman Abramovitch pourrait revendre Chelsea pour un problème de visa, on a décidé d’établir la sélection des meilleurs joueurs qui ont évolué pour les Blues sous son ère. Soit depuis 2003. Avec le nombre de transferts effectués, il y a de quoi faire un sacré beau onze.
Entre 2010 et 2016, années où la FIFA a eu la mainmise sur le Ballon d’or, il y a eu une incompréhension sur sa nature même : il récompensait le meilleur joueur dans l’absolu –en tout cas selon la FIFA–, mais pas forcément celui qui avait fait la meilleure année, alors qu’il s’agissait originellement de l’esprit du trophée. Retour sur quelques cas qui ont suscité bien des débats, lors de cette période. Mais également bien avant.
Alors que Thierry Henry est revenu (pour combien de temps ?) à Monaco, son club formateur (a priori vous en aurez entendu parler une ou deux fois…), voici mis en avant quelques entraîneurs qui sont eux aussi rentrés « à la maison ». Pour le meilleur ou pour le pire.