Ce n’est pas Patrice Evra, qui croyait qu’il fallait avoir le flair d’un enquêteur pour être capitaine en équipe de France. Mais la réponse à cette question est plus subtile et plus vaste que cette évidence. Entraîneurs et joueurs ont des avis divers sur la question, même si tous se rejoignent sur le principe du caractère, qui doit être fort, et sur cette qualité qu’on nous rabâche à longueur de temps : le leadership.
Archives par auteur Maxime Brun
Silvio Berlusconi est de retour aux affaires, avec son bras droit Adriano Galliani : le Cavaliere a racheté Monza, club de D3 italienne. La statue de cire souhaite « quelque chose de différent du football actuel » et, pour cela, a imposé des conditions strictes quant aux profils de ses joueurs : il faut qu’ils soient Italiens, jeunes, sans tatouages ni boucles d’oreilles, ni barbe, avec « les cheveux en ordre » et habillés avec « goût ». Il va falloir racler les fonds de tiroir, en gros. De notre côté, on a voulu imaginer ce que ça donnerait si Berlu avait racheté une équipe de l’Hexagone en imposant les mêmes règles à des joueurs français.
Après un début de saison raté, Leonardo Jardim a été démis de ses fonctions, début octobre, Thierry Henry prenant le relais. Mais où se situe le Mister portugais dans le panthéon des entraîneur de l’AS Monaco ? Passe D vous donne la (sa) réponse.
Gianluigi Buffon, 40 ans, a signé cet été un contrat de deux ans avec le PSG. Il n’a toujours pas abdiqué et quelques autres cas démontrent qu’on peut arrêter sa carrière dans la force de l’âge (voire après…). Si la retraite des footballeurs arrive souvent vers 34 ou 35 ans, certains, à l’inverse de Gigi, ont dit « stop » avec quelques années d’avance, en pleine possession de leurs moyens physiques. Étonnant, certes, mais ils avaient (souvent) leurs raisons.
La dernière fois que le Brésil a gagné un Mondial, c’était en 2002, avec Ronaldo, Ronaldinho et Roberto Carlos comme joueurs majeurs, soit des fêtards invétérés. Quand les dévots du Vatican envahissent la Seleçao (Neymar, Thiago Silva, Kaka…) et passent plus de temps à prier qu’à se déhancher en boîte, c’est élimination cuisante. D’un autre côté, évidemment, la discipline a d’énormes avantages, particulièrement pour le football de club, plus quotidien et plus exigeant. Comparons.
Le rôle d’un entraîneur est à la fois primordial et bien particulier, les entraîneurs les mieux sapés ont-ils un avantage ? Trombinoscope de quelques-uns des entraîneurs les plus classes du milieu.
Calvitie ou traits marqués, bouclettes ou pommettes rosées… Les footballeurs semblent toujours un peu en décalage avec le reste de la société. Ils ramassent de l’argent parfois au berceau, prennent leur retraite à 34-35 ans et sont considérés comme « vieux » après la trentaine.
Robert Wurtz officiait à l’époque où la télévision et ses multiples caméras n’avaient pas fait de l’arbitre l’ennemi public numéro un. « Nous avions plus le bénéfice du doute, grâce au manque d’images. Il n’y avait ni ralenti ni Internet. Et je sais bien qu’aujourd’hui, il y a un milliard en jeu à chaque but. Mais […]
Pour le plaisir des yeux, Passe D a décidé de vous concocter une petite anthologie où des as du coup franc ont mis des tirs d’hyper loin. Patates de bourrin ou shoots soyeux, superstars ou parfaits anonymes, on en a pour tous les goûts. Ouvrez bien les mirettes et sortez la nostalgie.
Après leur carrière, tous les footballeurs, notamment de haut niveau, ne sont pas destinés à devenir entraîneur ou consultant. Les joueurs que nous allons évoquer ici ont eu d’autres envies, d’aucuns diraient « des idées lumineuses », pour la majorité assez insolites. À vous de juger.